Formations Santé et sécurité au travail

De nombreux articles du Code du Travail régissent la Sécurité au Travail. Vous en trouverez quelques-uns ci-dessous. Nous restons à votre disposition si vous souhaitez des renseignements complémentaires.

Circulaire 53/2007 du 3 décembre 2007 : « Il serait souhaitable de doter chaque établissement d'un secouriste pour 10 ouvriers….»

Code du travail :

R4224-15 : « Un membre du personnel reçoit la formation de secouriste nécessaire pour donner les premiers secours en cas d'urgence dans …Chaque atelier où sont accomplis des travaux dangereux …Chaque chantier employant vingt travailleurs au moins …».
R4224-16 : « En l'absence d'infirmiers, ou lorsque leur nombre ne permet pas d'assurer une présence permanente, l'employeur prend, après avis du médecin du travail, les mesures nécessaires pour assurer les premiers secours aux accidentés et aux malades ».  

 

Nous vous proposons des formations sécurité incendie réparties selon 3 domaines d’activités :

Secourisme

Habilitations électriques (définies dans la nouvelle norme NFC18510)

Divers

  • Gestes et Postures 
  • Aide à la rédaction du document unique

 

LES MOYENS MIS A DISPOSITION

Nos équipes disposent du matériel nécessaire pour assurer les formations du domaine santé et sécurité au travail. Ce matériel pédagogique secourisme est essentiel pour simuler et rendre la situation fictive plutôt réaliste.

Ainsi, les stagiaires disposent par exemple :

  • Mannequin de secourisme de tout âge (nourrisson, enfant, adulte) avec masque faciaux individuels
  • Matériel d'insufflations orales à l’instar des masques pour le bouche-à-bouche (adultes, enfants, bébés) qui vont protéger et sécuriser le sauveteur mais également la victime
  • Un défibrillateur de formation avec jeux d’électrodes
  • Un matériel pédagogique secourisme en rapport avec l’hygiène car c’est la première arme pour lutter contre la maladie et amoindrir les dégâts.
  • Un téléphone portable ou une radio portative ou mobile pour transmettre au médecin régulateur ou aux entités concernées (exemple le SAMU) les données sur l’état critique des victimes.